Les Trois Travaux - commentaires

Commentaires

Publié mercredi 16 mai 2007 par Les 3 Travaux.

Adhésion de Guillaume Charbonneau

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A comment, please don't immediately delete this because it's written in English...your comments were interesting and not without some merit, however,there was little, if any, mention of good, sound governance, the foundation and raison d'être of any government. While in power, the PQ had a miserable record of bad decisions, and while out of power, they managed to alienate the one population that supports its only cause. The PQ is a one-trick pony. I'm not sure if you understand what that means...

I've lived here for many years, but I'm planning my exit another anglo gone...Rejoice!). I make my living off the French language and I love it, but I do not write it perfectly. But I feel we do not inhabit the same planet.

Cheers mates,

Chantal


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Bravo,vous avez tres bien a situer la problèmatique et je vous appuis,le parti québécois n'a pas le choix, s'il ne veut pas disparaître. Mais pour moi ,il y a un mais, une grande barrière a franchir et je m'explique : tant que les souverainistes mous des partis de l'opposition(libéraux, adéquistes, meme québec solidaire) ne se réveilleront pas, on ne peut faire consensus. Ces traîtres a la nation, la vieille garde du fédéraliste qui nous barre toujours le chemin dans notre affirmation nationale,cette gang de colonisée (excusez-moi) sans mémoire de cette belle maxime "JE ME SOUVIENS".

Carol Coté


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Félicitations au "collectif" pour cette proposition.
Grosso modo, je suis d'accord avec cette orientation de "gouvernance souverainiste". Je laisse aux experts son analyse politico-stratégique. Je suis d'accord qu'il faut radicalement abandonner cette option référendaire du "tout ou du rien". Nous ne devons pas construire n'importe quel pays et voter dans un éventuel référendum pour n'importe quoi se cachant sous le parapluie de la souveraineté. La Révolution tranquille et l'avènement du Parti Québécois au pouvoir en 1976 ont donné le coup d'envoi pour la construction de ce pays. Il faut le continuer et empêcher les retours en arrière, comme il s'en dessine souvent dans les moments de crise. Il est vrai que des référendums perdus qui se succèdent ne peuvent qu'affaiblir le Québec. L'heure du référendum gagnant viendra lorsque les Québécois, c'est-à-dire tous les habitants de ce pays, le Québec, quelle que soit leur origine, se reconnaîtront dans le pays qu'on leur offrira. Sous réserve d'analyses plus poussées, je suis d'accord avec les propositions de Constitution québécoise, de citoyenneté québécoise et surtout d'une charte de la laïcité instituant "la séparation de l'état et des religions de même que la primauté des lois civiles sur les pratiques religieuses".

En somme je suis d'accord avec l'option que vous présentez, quitte à
en soumettre les différents éléments à une analyse plus fine.

Jean-Marc Bernard

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L'indépendance d'un pays ce n'est pas de gagner un référendum mais de gagner la confiance d'un peuple à la capacité de s'auto-gouverner.

Lucien Saint-Pierre


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On voit que vous vous êtes pas encore débarrassés du dogme étapiste introduit au PQ en 1974 par Claude Morin, le collaborateur de la GRC.

Vous vous êtes pas encore débarrassés encore du combat gauche-droite qui nous fait le plus grand tort.

Avec votre plan d'action, dans 15 ans, on sera encore à gérer notre dépendance.

Pierre Cloutier ll.m
avocat
Chroniqueur - Vigile


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Absolument d'accord avec tout le contenu, même que de mon point de vue, le volet nationaliste devrait primer. Engendrant ainsi,une nouvelle envolée de la ferveur identitaire et culturelle. N'est-ce pas la, la première pierre qui doit être posée, et sur laquelle la société se doit de bâtir?

Jean-Pierre Tanguay

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Très beau texte! J'appuie à 100%! Il est temps que le parti de René Lévesque revienne à ses origines et à ce qui a jadis fait de lui le véhicule des plus grandes aspirations du peuple québécois.

Pierre Meese


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J'appuie et je signe. Bonne chance !

Jean-François Dagenais

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Je suis tellement déçu du PQ qu'arrivé à 67 ans j'ai perdu mes illusions d'il y a maintenant 40 ans lorsque je suis devenu d'abord Souverainiste avec René Lévesque puis PQ lors de la coalition
Lévesque/Bourgault. Je la veux encore l'indépendance mais quand je lis votre papier je le trouve être "la vie en Rose". Pauline Marois saurait-elle mettre tous cela en marche? Même si moi j'avais voté pour elle a cause de sa grande expérience. Le défi est TITANESQUE.

Bonne chance.


Ghislaine Brassard

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Adhésion d'Éric Cimon

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Il faut faire une promotion positive et constante de la souveraineté. Les peuples qui "s'aiment" réussissent. Il n'y a aucun tort à mousser notre nationnalisme comme les américains ou les australiens ou les autres peuples de l'occident. Le parti doit cependant viser le centre ou le centre légèrement à droite pour ne pas se déconnecter de la classe moyenne. Il faut à tout prix parler de langue et d'appartenance. Je vis à Montréal et j'ai quotidiennement de la difficulté à vivre en français et me respecter. J'ai dû voter ADQ à cause du grand vide au PQ. Je suis cependant un souverainiste.

André Gagnon

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Votre texte est bien. Je suis pour l'indépendance du Québec. Mais je pense qu'une grande lacune du discours général sur la souveraineté et l'indépendance dont votre texte propose de nouvelles orientations est la suivante.

Très peu de fois, de mémoire, le PQ a exposé clairement tous les enjeux et les bénéfices, comme les contraintes que les québécois seront exposés une fois le référendum gagné.

On parle beaucoup comment faire la souveraineté (avec le référendum) mais pas assez de comment ça se fera. Il faut présenter clairement le programme à la population pour qu'elle comprenne, ce qui a peu été fait, afin qu'elle s'engage dans cette voie. Une présentation d'un programme clair (éducation, santé, nouvelle économie, politiques intérieures et extérieures). C'est pas tout le monde qui lit les programmes et les études de pointe. 40 % de la population y croit mais pour aller chercher une autre tranche importante, il faut que ces gens comprennent les bénéfices du projet souverainiste.

Charles Lussier

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Adhésion Alexandre Pagé-Chassé

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Adhésion de Germain Bataille

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Adhésion de Jonathan Cyr

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Adhésion de Virginie Paquet

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Adhésion de Sonya Berbery

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Oui pour la souveraineté et la social-démocratie. Oui pour contrer les dérives communautaires, mais avec des réserves quant au nationalisme identitaire.

André Segal

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Bonjour.

Partagez les aspirations québécoises avec des paroles du coeur en évitant les expressions hermétiques et ésotériques.

#1 Mettre la stratégie référendaire sur le pergélisol. (Sol gelé en permanence.)

#2 Une sociale démocratie, en s'inspirant des "Lucides". OK ! OK ! Le bon sens politique n'est nécessairement pas de droite. Créée la richesse, payez nos dettes, n'empêche pas la répartition de cette même richesse.

#3 Accommodements raisonnables, mon Q.
Donnons-nous, pour le 50ième anniversaires de la "Nation Québécoise" une " Constitution " ( 1962- 2012 ).
Permettons-nous de nous identifier aux yeux de la grande nation internationale.

Trois hourras pour " Pauline Marois. "

Bernard Quidoz.

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Je suis d'accord!

Annie Desnoyers

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Dans les deux dernières années je me suis demandée si le PQ répondait encore à mes attentes et s'il pourrait, un jour, répondre aux attentes des autres (ceux qui n'étaient pas ou plus membres). Plus les mois ont passé et plus le non c'est confirmé. Parce que j'ai émit un doute auprès de souverainistes «enragés» j'ai été mise à l'index. Le parti qui, jusqu'au moment de la course à la chefferie, était pour moi le symbole de démocratie a subitement démontré qu'au coeur de certains exécutifs de comté, le martèlement voir même le lavage de cerveau des éminences grise
avaient force de loi et le «je pense donc je suis» n'avait pas la moindre valeur. Ce qu'on attendait de moi c'était que je dise la même chose qu'eux et surtout que je ne pense pas par moi-même.

Vous lire a été un retour en arrière et même que votre démarche me réconforte. Ils existent ces gens qui croient que le renouveau du parti doit passer nécessairement par des preuves concrètes, par l'amélioration du discours qui répondra à bien plus qu'une poignée de «péquiste» puisque le Québec ne se limite pas qu'à un groupe. Aujourd'hui ce n'est plus le temps de convaincre à tout prix, mais celui d'aller chercher la confiance de ceux qui attendent plus d'une gouvernance; qui attendent le respect, l'action concrète et l'écoute.

Merci pour ce moment de fraîcheur, de ce moment d'espoir en un parti dont les membres prennent la liberté de s'exprimer ouvertement.

Ruth Lagueux

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D'accord. C'est à peu près ce que propose Pauline Marois d'ailleurs. Merci beaucoup, Poursuivons notre action.

Bonne chance!

André Dufour

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Pour ce qui est de la perte de la derniere élection André Boisclair n'étais pas l'homme de la situation et le PQ ne s'en ai pas rendu compte. - Je crois que notre démocratie est controllée par les Médias et sondages publique et ce dernier se laisse avoir par eux . Si le Média dit Oui le publique dit et l'inverse est aussi vraie. Pour les 3 travaux je considere que dans les circonstances tout est possible .

André Lefebvre

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Je souscris des deux mains et de toute ma conviction.

En particulier, pour les Québécois plus que pour quiconque, l'État est un instrument irremplaçable de libération.

Pour qu'il remplisse sa mission, il lui faut être efficace. Donc, l'alléger où il faut, peut-être. Mais pour le rendre plus opérationnel, et non plus déléthère.

Joseph Berbery

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Le Parti Québécois appartient aux Québécois.

J'adhère certainement avec l'arrêt de la fuite en avant référendaire. Je suis un jeune membre du parti et j'ai adhéré au parti sans avoir la passion indépendantiste. J'ai adhéré au parti car je croyais sincèrement que le parti était celui qui servait le mieux le Québec dans sa modernisation, son progressisme et son dynamisme. Je pense cependant que l'indépendance peut être un ultime outils si notre collectivité québécoise est freinée par notre adhésion a une confédération.

Parti Québécois garant du rêve Québécois et non les québécois garant du rêve du Parti Québécois.

Défendre les intérêts québécois et faire progresser la société québécoise. Le moyen n'est pas la finalité, l'indépendance n'est pas le Québec. L'indépendance a mon sens a toujours été un résultat d'une injustice venant d'une majorité (années 50-60) et/ou d'un frein a la progression et au développement d'une société (années 70-80) et/ou d'un refus de la majorité a reconnaître l'existence d'une minorité (années 90). Il nous faut proposer des projets qui tiennent à coeur tout les québécois et québécoises. La ratification de Kyoto, l'inclusion constitutionnel des soins de santé universelle, une politique en éducation musclé et soutenu par tout les niveaux de la société (Fédéral, Provincial, Corporative, Municipal, familiale et individuelle), une politique énergétique qui assure notre indépendance collective en matière d’énergie, reconnaissance de la société québécoise au sein d'une fédération, la protection de la langue et de la culture québécoise, amérindienne, irlandaise, etc... au sein de la fédération. Il faut se remettre a rêver a un monde meilleur et il faut s'assurer que le Parti Québécois soit le garant de ce rêve, et pas que les québécois soit garant du rêve du Parti Québécois.

Social Démocrate et progressiste

Un Parti Social Démocrate qui défend les intérêts des québécois. Je suis profondément mal à l'aise avec le concept d'un parti regroupant tout les tangentes politiques sous la gouverne d'un projet qui est l'indépendance. Il faut d'abord être un Parti qui favorise certaines politiques en matière d'éducation, de santé, d'économie et de culture, qui en arrive a la conclusion après maintes effort que l'indépendances est unes des solutions au malaise québécois, que nous sommes freinés dans notre progression par cet adhésion à cette confédération. Il
appartiendra aux autres partis de décider et de débattre avec ce parti si cet option leurs convient ou non. Il n'est pas dit qu'après plusieurs démonstrations de l'échec et de l'immobilisme Canadien, qu'un ou plusieurs partis n'adhère pas au projet de l'indépendance. (I.e. Action démocratique, Québec Solidaire) Il faut prendre une direction claire avec des politiques claires. Il faut choisir son camp politique.

La responsabilité de la compétence.

Le Parti Québécois plus que tout autre parti doit faire la preuve de sa
compétence. Pourquoi ? Parce qu'il est garant d'un rêve, d'une progression et d'un changement. Il est évident qu'un parti qui propose un changement majeur dans n'importe qu'elle société doit convaincre d'une compétence supérieur face à ceux qui ne propose qu'un statut quo et qui n'a qu'à gèrer ce statut quo. Si nous proposons un changement il nous faut d'abord prouver hors de tout doute que nous
avons les compétences pour le faire. Il nous faut donc d'abord gouverner une province mieux que l'aurait fait n'importe quel autre parti. Ensuite défier l'ordre établie avec des projets ambitieux et proposer ensuite les meilleurs outils pour l'accomplissement de ces projets, si l'indépendance est un de ces outils, le peuple québécois saura reconnaître notre jugement basé sur notre compétence et sur nos accomplissements. (Hydro Québec, La Caisse de dépôt, L'Uqam, SODEC, SAQ)

Sincèrement,

Antonin Laberge

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Je suis d'accord avec la majorité du contenu.

Par contre, ceci est totalement faux et impossible à accomplir sans produire un travail médiocre: "Il est également essentiel que ce travail soit complété en vue de la prochaine élection."

Ainsi, je suggère que le PQ laisse sa satanée soif de pouvoir de côté un (long) instant, les Québécois s'en trouveront simplement plus attirés, et que le PQ travaille sur "lui-même" aussi longtemps que nécessaire, avec autant de minutie que la recontruction quasi totale d'un parti politique exige.

Pascal Giroux-Denis

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La démarche que vous proposez est incontournable.

Pierre Bluteau


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A qui de droit,

..Si on est tous d'accord à ce qu'il n'y ait pas question de complaisance.., on doit aussi s'entendre sur la nécessité de travailler dans la confiance. Si l'on ne désire pas de complaisance, travaillons à faire la pédagogie de la nécessité de l'indépendance. Je vous fourni quelques indices.

Le gouvernement de Lucien Bouchard a accepté de voir le fédéral diminuer le financement de la Santé à la hauteur de 11¢ par dollar dépensé, sans dire un mot sur le fait que le fédéral repartait avec 26¢ en taxes et en impôts sur chaque dollar. Il y aurait eu là, un motif de déclencher une consultation populaire sur le retrait du Québec à la fédération canadienne. Où étiez-vous ?

Autre exemple. Les viaducs nous tombent sur la tête, on démollit nos voitures sur nos routes, on fait de aquaplaning lorsqu'il pleut, pourtant, on ne oparle jamais que le fédéral retire 10¢ par litre d'essence consommé, sans avoir de responsabilité en matière routière. Donnez-vous la peine de demander une copie du rapport du Comité d'examen de la loi sur les transports au Canada, rapport rendu public en juin 2001 et dont le titre est évocateur: VISION FONDÉE SUR L'ÉQUILIBRE. Des pages 228 à 234, on pourrez lire en toutes lettres la recommandation des 5 commissaires, dont Bob Rae : Il faut RÉORIENTER le produit de la taxe fédérale sur les carburants vers les besoins suivants:

1) Financement des routes principales;

2) Financement du transport urbain;

3) Fiancement des routes secondaires;

4) Administration des rues des municipalités,

parce que le fédéral n'a pas de responsabilité en matière routière.

Comme il y a 4,5 millions de détenteurs de permis de conduire au Québec, des gens de toutes les régions, de toutes les religions et de toutes les langues, le PQ peut et doit rejoindre ces gens, afin de bâtir un pays responsable à l'endroit de ses citoyens.

Si je peux vous faire une simple suggestion, mettez-vous au travail, vous accompagnerez avantage Pauline Marois, dans sa recherche de solution aux problèmes du Québec et sur la manière de se bâtir un pays.

Dernier détail. Qui au PQ parle du fait que si Gatineau est alimentée par une énergie sans GES, celle d'Hydro-Québec, dont la facture est de 45% inférieure à l'électricité des centrales au charbon de l'Ontario, personne à Ottawa ne songe à y installer plus d'institutions fédérales, au lieu de verser de la péréquation au Québec.

Allez, au travail et allez-y de vos 3 travaux dont vous ne soufflez mot...............

André Mainguy, 64 ans

retraité du Groupe Équipements d'Hydro-Québec

Longueuil

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Selon nous, Madame Pauline Marois,qui était notre choix à la course à la chefferie demeure la personne capable de repenser le fondement du PQ, convaincue des besoins et des attentes de toutes les Québécoises et des québécois, quelle que soit leur croyance. Elle a toute notre confiance et notre appui. Elle saura ramener l'enthousiasme parmi les membres et possiblement la population.

Agathe et Jean Chalifour

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Adhésion de Me Bruno Grenier

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Enfin, on se réveille !

Anne Renée Gravel

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Bonjour à tous,

Bravo pour cet excellent texte intitulé " Les 3 travaux du Parti Québécois "…

J'appuie !!!

Roger Bertrand
Député de Portneuf (1993-2003)
Président de l'ANQ (1994-1996)
Ministre à divers titres (1996-1998, 2002-2003)
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Je crois que l'on devrait commencer par se donner une ligne directrice,qui ferait en sorte d'avoir le même cheminement de ce que l'on veut comme parti politique.

Cessons de se déchirer et travaillons pour les mêmes aspirations.
Il y a un proverbe qui dit :DIVISER POUR MIEUX RÈGNER.

Gaétan Larue

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Ce texte est audacieusement intelligent. Cessons de faire l'autruche !!
Nous n'osons même plus nous nommer nous mêmes, nous nous nions...

S'affirmer, ça se fait debout et non à genoux !!!

Christian Lorin

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Entièrement d'accord!

On a pas besoin d'attendre un papier signé par le Canada pour assumer notre identité et pour faire grandir notre futur pays. C'est en agissant dès maintenant et sans attendre les conditions gagnantes que le mouvement souverainiste reprendra de la force.

Le Parti Québécois est là pour rester encore des décennies, advienne que pourra. Son premier but devrait être de faire avancer le Québec avec son identité propre. Le projet de pays se fera de lui-même le temps venu.

Je suis fier d'être Québécois, rien n'est perdu!

Luc Begnoche

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Wow! Enfin quelqu'un qui réussit à synthétiser ma pensé sur écrit!! Je suis à 100% derrière ce texte mais je crois qu'il faudrait rajouter aussi d'enfin rejeter officiellement la monarchie britannique et d'abolir les symboles coloniaux monarchiques sur le territoire du Québec. D'adopter de réelle geste de souveraineté avant que la libération politique du Québec ce fasse! Il faut que nous soyons les vrais défenseurs de notre nation et de notre fierté nationale!

Jean-Thomas Grantham, Porte-parole jeunes du Parti Québécois de la région de la Capitale-nationale.

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Votre réflexion est pleine de sens, je l'approuve sans réserves et vive le Québec libre!

André Chenel


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Il faut cesser d'imposer le référendum au gens. En effet, il faudrait plutôt vendre l'idée d'un pays au québécois.

Jérôme Simard

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J'adhère totalement à votre point de vue, un long travail s'ammorce mais avec
confiance il nous mènera vers ce Pays tant voulu!

Mathieu Giroux

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Adhésion de Martin Doiron

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Je suis tout a fait d'accord. Je suis membre du PQ et je désire que se crache dans les mains et qu'on recommence comme disais Parizeau :)

Je vous invite a venir voir mon blogue.
www.http://www.davidbdotcom.blogspot.com

David Béliveau

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Je dois avouer que ce texte me rejoint beaucoup. Il est par ailleurs le temps que nous arrêtions de nous chamailler sur la place publique et que nous nous unissons dans l'ultime but de revenir à nos forces et aux trois objectifs que vous mentionnez dans le texte. Étant un ancien représentant jeunesse, je n'ai jamais complètement adhéré à ce virage de droite que certains ont voulu faire prendre au parti. Notre succès était la social-démocratie et je suis persuadé que notre futur succès sera de revenir à cette formule qui a toujours rapportée beaucoup au PQ.

Mathieu Belley

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Tout a fait d'accord. J'aimerais qu'on parle peut-être un peu plus sur les accommodements raisonables et sur l'identité québécoise.


Ionel Botezatu

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Bien d'accord sur le fond, moins sur la forme. Avec le titre du Journal de Québec de lundi "NON au référendum" n'a rien pour nous faire gagner. Sans promettre de ne pas tenir de référendum au cours du premier mandat, il aurait été possible de ne pas éteindre les purs et durs en maintenant que la souveraineté doit être réalisée le plus rapidement possible. De cette façon, nous ne donnons pas l'impression à la population que nous ne sommes plus souverainistes; plus encore, nous donnons à la population l'impression que nous avons la VOLONTÉ de réaliser la souveraineté, mais que nous savons que sa réalisation passe par la VOLONTÉ POPULAIRE. Èviter de s'enfarger dans un échéancier référendaire, ce n'est pas de repousser cette échéance à tout prix.

Pour ce qui est de la social-démocratie, tout à fait d'accord pour dire que, pour fonctionner, la social-démocratie doit être servie par un gouvernement plus efficace. Le désengagement de l'état des services sociaux, s'il se traduisait par un abandon de l'obligation de résultats, serait catastrophique pour le Québec.

Pas un mot sur cette dette publique dont le fardeau nous écrase?

Benoît Bourbeau

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Quelle belle initiative!
Bravo!

Guylaine Proulx

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Madame Marois semble faire sienne ces préoccupations. Je lui fait confiance. J'espère qu'elle saura faire travailler ensemble le PQ et le Bloc pour qu'ils ramènent toujours leurs actions autour des impératifs qui nous font désirer l'indépendance: la minorisation constante du Québec. Advenant la prise de pouvoir elle devra instaurer les cours d'histoires à tous les ans du primaire au secondaire et enlever les cours d'anglais au primaire de même que d'obliger la fréquentation des CJEP français.

Claude L'Heureux

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J'appuie le contenu de ce texte. Ces trois piliers sont ceux par lesquels un gouvernement du PQ devrait être jugé, et les trois axes selon lesquels le PQ doit se redresser, avec une orientation d'ensemble: créer les conditions gagnantes. Un exemple de politique publique qui relève de l'axe de la social-démocratie efficace, mais est inséparable des deux, est l'école: il faut que le PQ se commette pour corriger, voire mettre la hache dans une réforme scolaire à la dérive.

Charles Courtois
Montréal

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J'haïs Marois.
Je veut Maka Kotto comme chef du pays du Québec. Le Monde comprendrais rien. Mais j'y crois. Il rallierais l'opinion publique américaine et mondiale. Il est beau, grans, fort. Il peut faire peur, rire ou pleurer. C'est mon homme, Allez le chercher. Go Anik! Go Marie-Michelle! Go Claude!

Benoit Guérard

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Il faut ré-inventer le PQ et prendre le virage qui s'impose. À court terme Mme Marois possède le rapport de force nécessaire pour mener cet exercice, à bon port. Il lui faut le support et la volonté des membres pour y arriver.

Claudel Massel

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Membre du MSA,ancien président du PQ de Limoilou,toujours indépendantiste mais non péquiste après les décrets de 1982,je suis revenu au bercail malgré mes désillusions en 2005.Oui au nationalisme identitaire et inclusif, à la social- démocratie, à la promotion du français et à des mesures concrètes pour se doter d'un pays.

Jacques Couture

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J'adhère grosso modo avec le texte. Mon seul bémol concerne la question identitaire ...

Je dis «non» à la démission identitaire. Il me semble pourtant qu"il nous faut discuter des priorités parmi les politiques proposées dans votre texte.

Par exemple le plus grande échec dans la modernisation de l'État c'est l'exclusion chronique des citoyens de la communauté linguistique protégé et des citoyens issus de l'immigration dans les postes de la fonction publique et de la para publique (sauf dans les institutions qu'ils contrôlent - en anglais !)

Ainsi le promotion de la langue française devrait inclure des objectifs tel que chaque personne qui demeure au Québec - même pour un séjour d'un an - a une responsabilité d'apprendre la langue du pays. Et nous avons le devoir comme société de les offrir les occasions de l'apprendre ET de la parler.

etc.

Duncan Robertson

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Je suis entièrement d'accord avec le libellé de ces trois travaux.
Il faut absolument se débarrasser une fois pour toutes de notre complexe de colonisés et ne plus avoir peur de déplaire à nos adversaires. Chose certaines ce ne sont pas eux qui feront le pays du Québec.

Comme plusieurs, après près de 50 ans de support et d'implication j'étais très découragé. Je reprend enfin le goût de continuer. Bravo, le PQ peut continuer à compter sur mon implication.

Solidairement, Charles E. Blier

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Oui je suis d'accord que le parti devrait être refait revue et corrigé surtout pour son manque de leadership, anglicisme bien dit n'est pas???

James Huguenin

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C'est.... lucide.

Gaspar Sauvage

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Je crois que le constat de la descente du P.Q. depuis le référendum est assez juste. Ce qui est bien c'est que vous avez décidé de vous impliquer afin que les choses changent.Comme idée concrète je pense à deux choses. Tout d'abord on sait tous que le français perd du terrain surtout à Montréal. Il y a un mouvement qui vient d'être crée afin de faire la promotion du français qui s'appelle le MMf: Mouvement Montréal français. J'espère que le Parti Québécois va s'y associer, en faire la promotion, en parler et inviter les gens à en devenir membres partout où il passera. Hier, lors d'une réunion du P.Q. j'ai parlé de ce mouvement à l'exécutif et de l'urgence d'agir.
L'autre point que je veux souligner concerne le journal le Québécois. Jamais je n'ai entendu un membre du gouvernement péquiste en parler, inviter les gens à l'acheter, bref à en faire la promotion. Pourquoi? La peur de ce que les autres médias fédéralistes vont dire, ce n'est pas tout à fait notre idéologie, de l'indifférence...Donc, il faudra commencer par se positionner sur notre terrain.

Bonne continuation, nous avons besoin de jeunes comme vous.

Agathe Petit, une souverainiste depuis toujours.

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Bonjour ! chers collègues péquistes. Nous sommes en attente à lire vos réflexions, suggestions et actions. Toutefois, je ne sais pas pourquoi, je n'ai pu "ouvrir le sujet traité" via le trombonne habituel. Aidez moi à vous lire et à apprécier le tout. J'ose seulement espérer que le corset qu'avait M. André Boisclair - malgré le 54% qu' il avait obtenu démocratiquement des 100 000 qui ont voté sur les 140 000 illégibles, au premier tour et au sein des neuf candidats, illigibles alors à la Présidence du Parti Québécois (15nov2005) -SAUTERA ET ÉCLATERA EN MORCEAUX. Quant on pense que le Président d'un parti politique légitime, ne peut changer une seule virgule d'un programme politique, adopté le 05 juin 2005, il y a que mot à dire : Monsieur André Boisclair a été un prisonnier et une victime de nous tous et surtout d' un programme dit politique. Quelle ironie? Résultat: l'élection du 23 mars 2007 à jamais perdue, une grande partie de notre électorat naturel absent et l'exécution en règle d'un autre Président du Parti avec la bénédiction du psychiatre Denis Lazure, absent dans la bataille péquiste depuis des années, vide d'idées et d'argument sinon d'être le perroquet d'un dénommé Philippe-Edwin Bélanger de la Capitale et dont ses comtés ont donné un piètre résultat électoral. Enfin, il n'a resté que la mise en scéne du quotidien Le Devoir, à partir des textes suivants: le politoloque Jean-Louis Bourque ( payé par nos impôts) et avec un tel torchon du 26 avril ' 07 ; celui de l'ara, M. Denis Lazure du 03 mai ' 07 et surtout de sa mise en page; et enfin l'éditorial de M. Bernard Descôteaux du 07 mai 2007 avec la bénédiction de l'équipe éditoriale. Du jamais vu de la part d'un quotidien. Quelle ethique?
Même pas La Presse aura osé aller si loin envers un Chef politique élu à 54% par 100 000 péquistes durant trois jours à la mi-novembre 2006.
- 30 -

Amicalement, vôtre, Claude Bernard.

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La meilleure façon de se rapprocher du Québécois moyen, est de revenir aux sources: le Parti Québécois a à été fondé pour promouvoir et garantir le français partout au Québec. Il doit reconnaitre que nous sommes nés d'une race fière qui doit continuer le combat pour sa survie. Etre conciliant, bien sûr, mais ne jamais reculer sur le fond et le faire comprendre aux néo-québécois qui vivent avec nous.

André Patenaude

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Je suis d'accord!

Chantal Denis

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Bravo! Quel beau résumé de ce qui devrait

être nos axes directeurs. Ce qui m'encourage, c'est qu'à lire ce que

prône Pauline Marois pour le futur, nous semblons être sur la bonne

voie.

Josée Ouellet

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Depuis bientôt deux élections j'étais résigné et prêt à décrocher de la politique péquiste, toutes les idées que vous venez d'émettre étant les miennes. De savoir que d'autres articules si bien mes aspirations me donne envie de continuer. Merci.

André Caron

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Le couronnement de Pauline Marois : un détournement de démocratie, et un recul pour l’indépendance du Québec

Depuis la démission d’André Boisclair comme chez du Parti Québécois, et le sondage Léger et Léger qui a suivi démontrant que Pauline Marois avait la faveur de la population comme future chef, le vent souffle dans une seule direction. Depuis quand un propriétaire d’une firme de sondage, en l’occurrence Jean-Marc Léger, décide t’il de l’avenir d’un parti politique ?

Depuis ce moment, sauf le court épisode du faux départ de Gilles Duceppe à la chefferie, tous les ténors souverainistes comme journalistiques ont fait leur nid :

Pauline Marois sera le prochain chef du Parti Québécois. Et pourtant les mêmes personnes disaient jusque là que le Parti Québécois, suite à sa glissade de la dernière élection, ne pouvait faire l’économie de débats en profondeur.

Et la démocratie dans tout ça. N’est-ce pas le droit des militants d’une formation politique de définir les orientations d’un parti et de choisir un chef qui peut le mieux les porter ? Mais voilà que tout est déjà décidé d’avance. Les décisions ont été prises par une poignée de personnes en catimini. On se croirait à l’époque féodale dans les intrigues de palais.

En plus de la façon de faire, il y a également le contenu. Les priorités de madame Marois : mettre la souveraineté sous le boisseau, parler de développement économique, du remboursement de la dette et de l’identité.

Nous avons devant nous une possible future chef du gouvernement du Québec, somme toute compétente, mais pas un leader pour nous mener au pays, ce dont nous avons le plus besoin.

Maintenant que l’élite bien pensante du parti a fait son nid, bien des personnes devront prendre acte et repenser leur avenir au sein du Parti Québécois. Les militants de gauche devraient joindre les rangs de Québec Solidaire, et les indépendantistes mettre sur pied un nouveau parti indépendantiste.

Membre de Québec Solidaire, épris de justice sociale, mais aussi fervent indépendantiste, je venais de renouveler ma carte du Parti Québécois pour participer au débat en profondeur et au choix du future chef. Comme l’un et l’autre n’auront pas lieu, je vais retourner ma carte dès sa réception.

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Yves Chartrand

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J.F. J.F.... C'est pas si mou, quand même, tu y vas un peu fort là !!! :-P Entre ¸aa pis la stratégie de gouvernance référendaire, je prends ça n'importe quand !!! C'est sur qu'il y aurait des trucs Ã fignoler au niveau du type de gouvernance et de la stratégie, mais je sens quand même là, un pas dans la bonne direction... En fait, même si on reste un peu dans le flou, il y a, là-dedans, un ensemble de choses qui fait mon affaire... Je note en effet, les passages qui parlent de la démission identitaire et de la sociale-démocratie... Certes,, j'aurais aimé que le discours économique soit un plus etoffé, mais il s'agit essentiellement d'un bon texte...

Paolo Zambito

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mouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu

Mouvement pour une Élection sur la Souveraineté

Jean-François Jacob

Militant Souverainiste

Et fier patriote québécois !

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Exactement ce que je crois être la voie à suivre...

Nous Vaincrons!

Guillaume Martin

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Je suis tout à fait d'accord avec votre analyse et vos propositions.

Merci de votre contribution.

Yvon St-Onge

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Quel merveilleux petit texte. Il correspond tout à fait à ma vision des choses depuis plusieurs années.

Je suis membre de l'exécutif du PQ du comté de Louis-Hébert et vous offre ma collaboration pour toute opération, consultation ou soutien de votre groupe. Il y a d'ailleurs 4 ou 5 ans, j'ai émis un petit communiqué allant dans le sens de vos propos, lors de la fameuse saison des idées. Mais il a été tabletté trés rapidement.

Pour d'autres commentaires, contactez-moi directement.

Alain Sénéchal, Québec

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Je suis bien d'accord avec ce manifeste mais j'aimerais relativiser certains faits: Si la dernière défaite ramène le parti Québécois à son score de 70, il en est de même pour le parti Libéral où c'est lui aussi son plus bas score depuis 40 ans. Les Québécois ont peut-être bien plus voter pour une "autre option" pour permettre de créer une certaine dynamique à l'assemblée nationale tout en continuant le traditionnel 2e mandat -minoritaire cette fois-ci-. On parle beaucoup de la remise en question du projet souverainiste, mais avez-vous souvent entendu les 2 autres partis parlez de leur programme constitutionnel? On doit travailler sur la défensive, mais eux n'osent même plus se dire fédéraliste ou invente des termes sans substance. Qu'on critique notre projet souverainiste alors que les deux autres partis n'en ont pas, est-ce si grave? Après tout, ce n'est que 5% qui différencie la première de la troisième place. Au plus vite des élections proportionnelles pour permettre que chaque vote compte et refléter mieux ainsi la diversité des choix politiques.

Mario Villeneuve

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Les 3 travaux du Parti Québécois

Les auteurs sont membres du Parti Québécois. Il s’agit d’anciens candidats, dirigeants de l’aile jeunesse et de militants de différentes circonscriptions. Dans le contexte de la course au leadership qui s’annonce, ils sont optimistes quant à la capacité du Parti Québécois de se réformer. Ils font toutefois le pari que la complaisance est la dernière chose dont il a besoin. Les auteurs s’expriment en leur nom personnel.